Dans nos récents articles de la série des disciplines du design UX, nous n’avons cessé de parler de livrables.
Généralement, à chaque étape d’un processus, un extrant est produit sous forme d’artefact. Très compliqué comme phrase (ou essai de définition), raison pour laquelle nous nous rabattons sur l’article de Joel du 10 mai 2017.
C’est quoi un « livrable » ?
Le « livrable ». Un concept simple à comprendre (quelque chose que vous « livrez »), mais difficile à expliquer correctement.
Une façon de décrire un livrable serait comme une œuvre ou un artefact qui est une collecte d’un plus large groupe de travail. Par exemple : un sitemap, un modèle de nav et une définition de la recherche tomberaient tous sous l’égide de « architecture de l’information ». Pour formaliser cet objectif, ça peut être un document qui contient tous ces objets et une feuille de couverture avec des informations de versioning.
En outre, les artefacts et les résultats attendus peuvent également être autonomes et interchangeables. Un wireframe, par exemple, peut servir comme livrable sur un projet pour montrer à un manager que vous progressez, fournir des informations au développeur sur la structure nécessaire, ou collecter un paiement d’étape auprès d’un client.
La chose importante à retenir, c’est qu’un livrable n’est pas quelque chose qui doit être fait uniquement pour l’amour de l’extrant, mais pour fournir une plus grande lucidité ou porter le projet/produit à l’état final souhaité. Par conséquent, il est important d’avoir une pensée critique en ce qui concerne la raison pour laquelle vous créez un livrable et à quel niveau de fidélité/formalité, dans la mesure où il est susceptible de faire perdre beaucoup de temps !
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